
Ce récit fait presque 2 000 mots. Je n’ai pas pensé judicieux de le diviser en chapitres. Lisez-le à votre rythme.
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Aux humains qui liront ce témoignage, j’ai utilisé votre langue et essayé de simplifier au maximum sa rédaction pour une compréhension plus simple pour vous.
Je n’ai pas pu identifier avec précision les causes de notre atterrissage forcé sur la planète bleue.
Un de nos moteur anti-gravitationnel a cessé de fonctionner, ainsi que les commandes permettant à notre vaisseaux de reprendre de l’altitude. Quelque chose semble avoir brouillé notre technologie. Je présume que cette panne provient d’un élément naturel de votre planète, et non d’un acte humain tel un missile ou une quelconque technologie défensive de votre part.
L’exploration des planètes, dont mon unité est chargée, réserve parfois quelques surprises. Votre planète n’est pas sans danger même avec notre technologie qui dépasse grandement la vôtre.
Mes camarades ont fait leur possible pour essayer de redresser notre vaisseau. Mon rôle dans l’organisation inter-galactique à laquelle j’appartiens été de coordonner les différentes unités et de les dispatcher selon leur domaine de recherche respectif. J’étais en quelque sorte le chef de l’expédition hors du vaisseau, je n’avais aucune responsabilité quant à l’état, l’entretien, le contrôle de notre engin.
Nous avions repéré votre planète depuis plus de 500 ans, selon votre philosophie du temps.
La manière dont vous avez organisé votre temps, seconde, heure, minute, jour, semaine, mois, année, est unique et pathétique. Chaque planètes habitées par des entités ont leur propre mesure du temps. Comme vous, elle est souvent basée sur les changements climatiques, les saisons.
Seule change la manière dont les entités utilisent ce temps. Vous, humain, êtes limités par votre petite espérance de vie. Votre vie est la plus courte de toute les entités intelligentes de votre petite galaxie.
Mon but, en tant que chef d’expédition planétaire inter-galactique, est de rentrer en contact avec les êtres intelligents habitant une planète, d’apprendre et d’étudier leurs philosophies de vie, leurs habitudes, leurs connaissances.
Nous avions une unité pour l’environnement, prenant en charge l’étude des espèces vivantes, végétale et animalières, ainsi que le climat et le fonctionnement de cette biodiversité et son influence sur la planète.
La votre, selon les renseignements de cette unité et après plusieurs milliers visités sur votre planète, est gravement endommagée par vos agissements. Le profit, l’argent, cette méthode de rétribution à vous, vous a fortement poussée à exploiter vos ressources sans chercher d’alternatives. Résultat : nous venions pour observer les résultats de vos agissement sur votre planète. J’étais donc en charge de votre étude, vous diriez dans votre vocabulaire que je suis un anthropologue.
Revenons au crash du vaisseau Dedalus, mon vaisseau.
Notre vitesse de descente étant extrêmement élevée, je ne pu que donner l’ordre, si nous survivions, de nous mêler aux humains de la planète Terre jusqu’à ce qu’un appareil de la division Minotorus vienne à notre secours.
Notre vaisseaux termina sa course dans le pays appelé États Unis d’Amérique, dans le désert dit de l’Arizona.
Je peux dire que je suis le seul survivant du crash. Mes camarades sont « morts ». La mort chez nous n’a pas la même signification que la vôtre. C’est pourquoi je ne les pleure pas et, après être sorti des débris du site du crash, j’ai erré pendant de longues heures, seul, avant d’atteindre un poste de votre civilisation, appelé « ville » dans votre jargon. Mes compétences m’on permît de me fondre dans votre société, au moins physiquement grâce à l’aptitude inée, que nous avons développé pendant des millénaires chez nous, qui consiste simplement à transformer nos corps d’origines en n’importe quel autre forme vivante. Je suis donc devenu un humain, physiquement.
Votre corps est extraordinaire mais il nécessite beaucoup d’entretien.
La faim, la soif, le sommeil. J’ai expérimenté avec ces phénomènes. Pour fonctionner correctement, vous avez besoin de ces 3 choses. Mon être physique extraterrestre n’en a aucunement besoin. Il a fallut du temps pour comprendre le fonctionnement du votre. J’ai même dû plusieurs fois me métamorphoser en mon être physique normal pour réfléchir et éviter de mourir de faim ou de soif.
Il est étonnant de voir comment fonctionne votre cerveau, encore plus de découvrir que vous ne l’utilisez que très peu. Ses capacités sont importante, peut-être aussi complexe que le mien, mais vous ne l’utilisez pas au maximum de ses capacités. Peut-être est-ce parce que vous êtes des êtres encore récent. Le temps, espérons le, vous amènera a l’utiliser à fond. J’ai remarqué que beaucoup d’entres vous, ceux qui se forcent à l’utiliser et à le maîtriser, tende à être désarçonné et que vous tombez régulièrement victime de la puissance de ce cerveau, en résulte une sorte de torpeur psychique que vos médecins appellent « dépression ».
Les capacités de votre corps sont aussi très intéressants. Saviez-vous que votre peau supporterait d’être sans protection dans l’espace ?
Le fonctionnement de vos organes, votre mécanique, est complexe, ce qui est fascinant. Votre système nerveux m’a demandé beaucoup de temps pour le comprendre. Votre cerveau est lié à votre physique. Ce système nerveux est sensible a l’extrême, vous en négligez trop son existence et l’importance qu’il a dans votre vie.
J’ai compris votre obsession du temps à la vue de votre très courte espérance de vie. Vos corps dépérissent rapidement ainsi que votre cerveau.
Vous êtes ainsi obsédé par ce que vous appelez « la mort ». Vous avez créé des idoles, inventé des histoires pour vous rassurez, auxquelles vous croyez dur comme fer, trop peut-être. Cela vous mène à des confrontations terribles. Beaucoup d’entre-vous êtes prêt à tuer pour vos idoles.
La mort mais surtout la vie après la mort est une des causes de vos grands heurts. Je ne peux vous éclairer sur ce sujet, n’étant jamais mort sur la planète Terre, mais je puis vous direz ce qu’il se passe pour nous.
Nous vivons, nous les extraterrestres, des milliers et des milliers d’années si l’on compare notre temps au vôtre.
Nos corps ne dépérissent pas ou très peu. Contrairement à vous qui êtes une espèce très jeune, la notre est infiniment plus vielle, à tel point que vous n’avez pas de mots pour la mesurer.
Je pense que notre longue existence a débuté quand nous avons appris à dompter notre cerveau. Je pense que pour vous, cela sera pareil, mais des milliards d’années sont nécessaires à l’acquisition et à la maîtrise des pleines capacités de vos cerveaux
Nous mourrons, suite aussi au dépérissement de nos corps, mais cela comme écrit avant, ce déroule sur les milliers d’années.
Pensons-nous a une vie après la mort ? Non, des milliers d’années sont suffisantes, notre vie a été remplie. Nous appelons la mort le grand sommeil. Nous ne prétendons pas, ni ne voulons, une autre vie après la mort, ayant eu assez de temps de vie durant notre existence.
Évidement nous ne croyons pas en des idoles, des dieux ou autres.
Je passe maintenant au fonctionnement de votre société, très succinctement.
Ce n’est pas forcément la loi du plus fort, mais plutôt celle du plus malin ou intelligent, qui vous gouverne.
Ce qui vous gouverne profite de vous, nous pouvons descendre jusqu’à vos « patrons » et « pdg ». Vous semblez avoir accepter de travailler pour autrui.
Sur ma planète, pas d’argent. Nous avons un but commun, l’exploration. Nous travaillons comme nous le voulons et où nous le voulons. Pas vraiment d’élite ni de gouvernement. Toutes les décisions sont prises naturellement, aucune concertations, nous savons où nous allons et quoi faire. Cela est dû à notre société qui existe et subsiste depuis plusieurs centaines de milliers d’années.
Votre technologie est avancée, de votre point de vue, mais elle reste très en retard par rapport à la notre. Évidemment, cela est dû, ici aussi, à notre longue existence comparée à la vôtre et encore une fois, à vos pauvres capacités intellectuelles.
Si il y a une chose que je n’ai pas compris, c’est ce que vous appelez l’ « amour ». J’ai vu des humains « mariés », ils s’appartenaient l’un à l’autre. Quelque chose dans votre cerveau vous pousse à tomber « amoureux ».
Je me suis grandement amusé de ce stupide attachement que vous pouviez avoir pour une personne. Le contact physique, les sentiments, la fornication dans le seul but du plaisir, cela m’était totalement étranger et me semblait puérile, digne d’une des plus méprisable et arriéré espèce que j’avais étudié jusque-là. Jusqu’au jour où, ayant forme humaine, je suis tombé « amoureux ».
Dès que j’ai découvert ce sentiment, qui me rendait aussi joyeux que triste, je décida de me métamorphosé en mon être physique extraterrestre dans le but de supprimer et de guérir de ce sentiment comme je le faisais avec la faim et de la soif. Mais, à mon grand désarroi, ce sentiment ne disparut pas. Je devais même me retransformer en humain pour pouvoir voir l’humain que j’aimais et pouvoir l’approcher.
Je ne me rappelle pas, dans l’histoire de l’évolution de mon espèce, avoir entendu parler d’amour, d’un attachement avec un autre être, un sentiment très puissant, addictif et déstabilisant. Je présume que nos ancêtre ont supprimés ces sentiments en les réprimants jusqu’à ce qu’ils disparaissent. Pour une existence, une société plus sage et compétente.
Notre espèce s’accouple artificiellement, par le biais de nos médecins. Une opération bénigne, pour le mâle et la femme, une seule, pour créer une progéniture qui grandit dans une sorte de caisson. Un enfant pour chacun d’entre nous, de manière à garder une population relativement stable. Jamais nous ne rencontrons notre enfant, ni la personne avec qui nous partageons sa mise au monde.
Mon existence sur la planète Terre a été bousculée. Je ne voulais plus retourné sur ma planète mais rester avec l’humain que j’aimais. Mes compagnons ont envoyés une équipe de secours qui est venu me récupérer mais j’ai refusé.
Je leur ai expliqué la cause de mon refus. Ils pensèrent que j’étais atteint d’une maladie humaine, inconnue et puissante, une sorte de virus. Ils voulurent m’emmener de force retrouver mon peuple. J’ai combattu fortement, envoyant un message à ma communauté, en leur exposant ma situation.
Ils décident actuellement du sort qu’ils me réservent. Pour eux je suis atteint d’une maladie propre à l’être humain, que vous appelez l’amour.
Je me suis métamorphosé en homme de plus en plus souvent car après avoir observé votre société, j’ai réalisé à quel point il était relativement plus beau d’être un Homme amoureux.
Je suis tomber amoureux d’un homme, de sexe mâle. J’ai réalisé que j’étais, après plusieurs observation, ce que vous appelez « Homosexuelle ». Là, j’ai découvert à quel point certains d’entres vous exècre quand deux personnes du memes sexe s’aiment.
Vous êtes une espèce compliquée, conflictuelle, cruelle, injuste, violente, faible, stupide, lente, homophobique, raciste et j’en passe mais vous avez ce phénomène appelé « Amour » qui n’appartient qu’à vous. Je n’ai jamais vu d’autre espèce « s’aimer », je n’avais jamais vue de « tendresse », « d’affection », « d’attachement » dans aucune autre espèce, et j’en ai vu des milliers.
Je fus atteint de ce phénomène. J’utilisais mes connaissances sur votre espèce et l’homme que j’aimais s’avéra m’aimer en retour.
Je ne pourrais vous décrire ce que cela fait d’être aimé pour la toute première fois après plusieurs milliers d’années d’existences. Vos livres, vos contes, vos fables, vos histoires, vos musique aussi vieux qu’ils soient ne parlent pas d’un être qui découvre l’amour après tant de temps.
J’appris doucement à aimer, à connaître mon amoureux comme jamais je n’avais connu d’autre entités, d’autres personnes, d’autres êtres.
Découvert aussi à quel point l’ « amour » est dangereux et parfois attire la haine. La haine, la colère est un trait que partage toute les entités intelligentes que j’ai pu rencontrer. Mais rare était le niveau de violence dont j’ai fais l’expérience chez vous. Vous excellez dans le domaine de l’horreur, signe d’une espèce encore loin d’être intelligente et évoluée.
Il ne m’aime plus, mon amoureux, apparement, il est possible de ne plus aimer. Ce n’est pas mon cas.
J’ai décidé d’attendre, peut-être repartirai-je un jour de votre planète, j’attends comme écrit plus haut la décision des miens quand à mon sort. Je voudrais rester et continuer à aimer et surtout à être aimer.
Peut-être nous croiserons-nous.
Jaskiers
Sacré voyage! Sacrée rencontre! 👽🌌🛰🚀❤
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Merci Filipa ! Peut-être l’as tu déjà croisé qui sait ?
Bise !
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Peut-être…qui sait? En tout cas, à la maison on a adoré cette aventure! Merci Sébastien et bon samedi. ☀️
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Ce voyage d’écriture était long mais il m’a permis de rentrer dans un autre espace temps et de découvrir l’expérience de cet être inhabituel qui découvre notre facon d’être, nos comportements. Je partage sa vision sur notre addiction à l’argent, nos capacités de haine et nos besoins de pouvoir. Il aborde, ou bien est-ce l’auteur 😉 deux « choses » importantes sur notre planète : la mort et sa sœur, la pulsion de vie. Il découvre que nous sommes mortels et donc dans le temps court, ce qui nous pousse à rechercher à capter le plaisir et tenter de le garder dans une belle boite qui se nomme l’amour. Mais ce n’est pas qu’une boite avec un beau ruban. C’est un sentiment qui est magnifique et qui pousse à « être humain ». C’est même notre fondement et notre seule vocation. Aimer et être aimer.
Merci pour ce beau voyage. Un vrai plaisir. Je souhaite à cet extra-terrestre un bon séjour sur terre et de ne pas s’occuper des terriens crétins car la vie est courte sur notre vaisseau.
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Merci à vous pour ce somptueux commentaire !
Qui sait où il peut être en ce moment… quelque part à aimer sûrement.
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Je n’ai lu que le début,mais pour une fois que le sujet est SF, ke sens que je vais y revenir, dommage par contre pour les noms des vaisseaux…je te crois capable de trouver plus original et extraterrestre ! 😉
Dommage aussi que tu n’aies pas pris le temps de lire le mien (mais bon je comprends qu’il est extrêmement long…).. Tu dois sûrement avoir besoin de te centrer sur toi en ce moment.
prends soin de toi !
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Les vaisseaux ? Ah c’est vrai j’ai pas beaucoup creusé.
De quel texte tu parles exactement ?
Bise et merci !
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Juste le nom des vaisseaux. Après… C’est que mon point de vue.
Le texte ? C’est tout un bouquin : Owowàn Taï Yhnà, Messagère des étoiles – tome I Orthankha le tyran (mais il n’y aura jamais de tome 2,3,4…).
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Ah d’accord !
Il est sur ton blog ?
Je vais regarder ça dès que j’ai le temps !
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T’auras pas le temps !mdr
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Des idées d’écriture intéressantes à travers les textes de ce blog mais une abondance de fautes d’orthographe qui personnellement piquent mes yeux et contrarient ma lecture. C’est dommage.
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Je sais pour les fautes d’orthographes, j’ai souvent ce genre de commentaire.
Si cela vous pique tellement les yeux, contacter moi par e-mail avec les corrections.
Sinon, vous n’êtes pas obligé de me lire.
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Je déteste apercevoir des fautes dans mes textes, je les traque et j’essaie de progresser, de proposer des partages convenables. J’ai le respect de ceux qui me lisent et je m’en voudrais de les incommoder. Chacun fait comme il le souhaite, c’est la liberté d’expression.
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Je ne dois rien à personne.
J’écris pour moi avant tout. Si vous n’aimez pas les textes avec des fautes, vous êtes libre de partir de mon blog. Surtout si c’est pour commenter sur mon français.
Vous insinuez que je n’ai pas de respect pour mes lecteurs ? Pour qui vous prenez vous ?
Allez « Bella Ciao ! »
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Faut rester cool et accepter les critiques positives autant que les négatives. Et surtout tirer du positif du négatif. Lol
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Merci Emmanuelle. J’ai l’habitude des remarques sur mon orthographe, mais là, c’était désobligeant. Je fais de mon mieux. Enfin, désolé si je t’ai manqué de respect avec mes fautes Emmanuelle, depuis le temps je n’en avais aucune idée ! Je suis… INCORRIGIBLE !
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Tu ne m’as jamais manqué de respect ! Ce que je trouve irrespectueux est plutôt ce genre de critique facile alors que tu dis clairement de te pardonner tes fautes d’orthographe et que tu fais des efforts ! L’essentiel est de faire un effort, mais le but essentiel est l’histoire, pas les quelques fôtes qu’on peut faire. Tout le monde fait des fautes en écrivant, c’est même normal, car lorsque tu écris, tu es dans l’histoire,tu es concentré sur la manière de l’écrire, comment, pourquoi, les buts,les intrigues etc… donc l’orthographe passe après. C’est pourquoi il y a des correcteurs avant l’impression d’un livre, même les correcteurs dont c’est leur métier font des fautes !
Cesse de te justifier, et ignore les critiques non constructives. Ne garde que celles qui te permettent d’avancer. 😉
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Bravo aucune faute dans ce commentaire. Vous voyez, quand on veut : on peut.
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Vous parlez de respect mais c’est vous qui êtes irrespectueux.
Il faut pratiquer ce que l’on prêche.
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J’étais comme vous avant, maintenant je me dis que l’orthographe ce ne sont que des conventions, un code… effectivement on en a besoin pour tous se comprendre mais je sais combien certaines personnes ont beaucoup de difficultés avec l’orthographe (la langue française est vraiment très complexe et même souvent bien tordue, il faut le reconnaître.
Alors j’ai appris à être plus cool ! Sauf bien sûr les personnes qui écrivent style sms…là ok, c’est horrible à lire. Mais ici on est sur blog d’écriture, donc je sais qu’à la base les personnes essaient de faire attention à l’orthographe, la présentation, ponctuation… etc. Et le correcteur d’orthographe censé nous aider me fait faire plus de fautes qu’à l’écriture manuscrite !! ça craint !
Donc soyez plus cool svp. 😉
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Plus cool ? Quand vous verrez des dessins de Ce2 accrochés au Louvre on en reparlera de cette cooltitude.
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Faut prendre vos médicament monsieur/madame.
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Faudrait alors appliquer votre maxime en page d’accueil :
« Hier, j’étais intelligent et je voulais changer le monde. Aujourd’hui, je suis sage et je me change moi-même. »
(Djalâl ad-Dîn Rûmî)
Y a du boulot non ? Dépêchez-vous, vous n’êtes plus tout jeune…
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Génial ce texte ! J’aurais préféré ne pas assister à ces commentaires, mais passons outre ! L’histoire est super et le messager aussi. L’analyse des pulsions humaines de vie et de mort. L’homosexualité… Félicitations 🙂
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Merci beaucoup !
Oui, j’aurai aimé ne pas avoir ce genre de personne mais il faut de tout pour faire un monde…
Merci encore.
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Vive le fotes d’or t’aux graffes🤣
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Longue vie à eux !
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