
Les États passaient à une vive allure, ainsi que les heures, dans sa nouvelle berline allemande. Il appuyait le pied sur l’accélérateur jusqu’aux plancher et il avait le rock de Springsteen pour l’accompagner, Dante ne voyait pas le temps passer. Quand la fatigue se faisait sentir, il s’arrêtait pour dormir au premier motel qu’il trouvait.
Il avait fait déjà plus de la moitié du chemin en deux jours.
Il ne s’arrêtait à un motel que pour récupérer un peu, faire le plein de caféine et repartir à l’aube.
Ces chambres d’hôtels étaient vétustes et lui rappelaient son ancien appartement à Hell’s Kitchen. Rien de tel pour rester humble. Garder ses racines même quand on est au sommet, car on ne sait jamais quand, et comment, on va en redescendre.
Bien que fatigué, il n’arrivait pas vraiment à s’endormir, trop excité d’arriver et la caféine n’aidait pas. Il plongerait directement dans le travail une fois arrivé, c’était décidé.
La deuxième nuit, dans un motel au bord de la route, il rêva, dans un demi-sommeil étrange, que sa machine à écrire tapée toute seule. Quand il s’approcha de la feuille battue par les tampons de la machine, il lisait : Certaines choses, aussi anciennes soient-elles, ne doivent pas être réveillés ni dérangées.
Jaskiers
Bonjour Jaskiers. Un bon début mais je pense qu’il faudrait revoir la ponctuation du premier paragraphe. Je couperais la phrase en deux.
Attention à l’orthographe. Ses >>>Ces
Bon courage. Surtout, continue et applique toi.
Roland
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D’accord merci beaucoup pour votre aide !
J’espère que l’histoire vous plaira, elle change de mon registre habituelle et je suis ouvert aux critiques, merci encore !
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