Dante’s Dusty Roads – Chapitre 12

Enclenchant ses warning, il se gara sur le côté et s’affaissa sur son volant. Il n’avait même plus la force de crier, car la fatigue venait reprendre son dû. Fatigue qui se dissipa encore une fois par la colère, contre lui cette fois-ci, car c’était une nouvelle voiture, il avait bien sûr un pneu de rechange, mais aucun outil pour le changer.

Il prit son téléphone, aucun réseau n’était disponible.

Accablé, il ne bougea plus de sa position, les bras sur le volant et la tête posée sur eux. Une fois l’adrénaline dissipée, il sombra dans le sommeil.

Combien de temps avait-il dormi ?

Le soleil dardait ses premiers rayons. Mais ce n’était pas le soleil qui avait réveillé Dante Rand, le nouveau prodige de la littérature d’épouvante, mais le bruit d’un moteur puissant qui faisait vibrer tout son habitacle.

Un camion s’était garé derrière lui. Enfin, un bon samaritain. Un bon samaritain qui répondait au doux nom de Peter Springsteen.

Jaskiers

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