« – Au fait, vous êtes gradé ? Sous-off’ ou trou fion ?
Sergent.
Pas mal le petit gars ! Vous êtes jeune et déjà une huile !
Quand vous sortez de l’école avec le bac, vous pouvez entrer comme officier.
Ah oui mais vous avez dû faire pas mal de terrain !
J’ai été sur le terrain évidemment. Autant que mes camarades.
Et on nous parle jamais de l’armée aux infos, à part le 14 juillet. On oublie qu’on a des jeunots qui se battent !
Le manque d’information, c’est normal. La population n’a pas besoin d’être au courant des guerres en cours. Question d’image et avec ça, plus de latitudes grâce au silence. Les reporters de guerre au plus près des soldats, ça s’est arrêté au Vietnam. Le peuple ne doit surtout pas voir des soldats français se battre tous les jours à la télé.
C’est vrai qu’on sait pas vraiment où nos gars se battent ! Oui, c’est curieux.
Il y a aussi des femmes vous savez.
Ça doit amener son lot de désagrément.
Pas du tout. Elles se battent comme les hommes, s’entraînent pareil.
Non mais ça d’accord. J’voulais dire par là… des jeunes gens en pleine forme avec des jeunes femmes, bah forcément, il doit y avoir des histoires de coucheries !
Non.
Étonnant.
Il y a beaucoup de gradés femmes qui commandent des hommes.
Et ça ne pose pas de problème ?
Non.
Hey bien mon garçon, c’est sacrément étonnant de voir à quel point l’armée a changé ! »
Je pensais avoir évité la discussion sur les sujets délicats, sujets que je n’ai pas forcément envie de parler. Mais non.
« – Vous avez été où ? Afghanistan truc comme ça ?
Oui, entre autres.
Y’a quoi d’autre… vous n’avez pas que fait l’Afghanistan ?
Non.
Je vois pas d’autre conflit auquel la force participe.
Il y a l’opération Barkhane au Mali.
Qu’est-ce qu’ils foutent là-bas ? Une guerre civile ?
Terroristes. Et ça peut tourner à la guerre civile.
Évidemment maintenant… c’est le terroriste. À notre époque, on nous disait que l’ennemi c’étaient les Russes.
C’était encore l’époque du mur de Berlin, du rideau de fer.
C’était une autre époque.
Mais les problèmes avec les Russes ne sont jamais trop loin. Voyez l’élection de Trump.
Ah ! Un sacré moustique celui-là ! »
Je me demandais s’il allait encore rester là longtemps. Il était chirurgien, il avait sûrement d’autres chats à fouetter. Ou à opérer. Non, ça c’est les vétos.
« – Bon, je vous laisse ! Mesdames, pas d’inquiétude, tout va bien se passer demain matin. Il n’y a aucune raison pour que les choses tournent mal. Et vous soldat, merci pour votre service !
Merci docteur, tu verras ma chérie demain ça se passera comme prévu.
Au revoir docteur. »
C’étaient mes dernières paroles, un au revoir courtois, mais j’avais envie de lui dire que je me fichais pas mal de ses remerciements pour mon service.
Car j’allai quitter l’armée. Il ne me restait plus que quelques mois à finir. Je ne pouvais plus supporter la vie de soldat. Mais je savais que ce qui m’attendait, la vie civile, qui serait une nouvelle épreuve. Une qui réserve ses lots de souffrances. Mais les vétérans, en France, tout le monde s’en fichent…
Ma sœur allongée sur son lit d’hôpital, ma mère assise à ses côtés et moi, droit comme un piquet au milieu de la chambre.
L’opération à l’estomac qu’elle doit subir se déroulera demain matin, très tôt. Les larmes coulent le long de joues des deux femmes de ma vie. Moi, je peine tellement à pleurer, à trouver les émotions, celles normales qui font de vous un être… normal.
Le chirurgien entre, un homme dans les cinquante ans, bedonnant, marchant avec les bras pliés et éloignés le long du corps, comme s’il attendait à tout moment qu’une infirmière lui enfile une blouse et des gants. Un homme dont la vie est dominée par son travail, jusque dans son corps.
Voyant l’émotion, il parle :
« – Hey bien, hey bien, pourquoi les larmes de crocodile ? Vous êtes prêtes, tout se passera bien.
Docteur, c’est la toute première fois qu’elle se fait opérer. Elle a peur de se réveiller en pleine opération, dit ma mère.
Cette peur, beaucoup de gens l’ont, mais rassure toi petite, l’anesthésiste va mettre ce qu’il faut et avec nos moniteurs, on peut voir si tu te réveilles. Mais c’est impossible, croit moi. Quand tu vas t’endormir, il faut que tu penses à quelque chose de positif. Il y a souvent des gens qui rêvent pendant l’anesthésie ! Et, vous avez de la chance car, maintenant, avec les produit que l’on utilise, les gens font de beaux rêves. Avant, certains faisaient de terribles cauchemars !
C’est vrai ? Demande ma sœur.
Oui petite ! Pense à ton chanteur ou ta chanteuse préféré, quelque chose qui te donne le sourire ! »
Les deux demoiselles essuient leurs larmes, des sourires se dessinent sur le visage.
Le docteur reprend, et à mon grand étonnement, s’adresse à moi. Par réflexe, je me redresse.
« – Et vous jeune homme ! Vous êtes le frangin.
Oui.
Pas trop l’air chamboulé vous !
Je le suis mais… je ne le montre pas.
Ah ! Ces hommes… mes pauvres dames ! »
Ma mère et ma sœur me regardent, avec, dessiné sur le visage, de légers sourires narquois. Je souris en retour.
Le docteur reprend, toujours à moi.
« – Droit comme un i, les mains derrières le dos ! Vous êtes soldat vous !
De retour à la vie civile.
Ah ! Voyez mesdames, je suis aussi mentaliste ! Si l’anesthésie ne fonctionne pas sur toi petite, je t’hypnotiserai ! »
Des éclats de rires. Le docteur est rodé, il sait comment détendre l’atmosphère. Il me tend la main. J’hésite quelques secondes, veut-il quelque chose, un objet ou veut-il me serrer la main ? J’hésite, la dernière option, à cause de la Covid, me semble peu probable. Je me retourne, regarde ce qu’il pourrait vouloir. Je ne trouve pas. Cela dure quelques secondes.
« – Serrez-moi la pince, soldat ! »
Je sors mon sourire de circonstance, gêné, je lui tends la main et la sers. Une bonne poigne, mais la mienne est forte. Il lâche le premier.
« – Vous étiez dans quelle branche ?
Dans l’infanterie.
Ah, moi j’étais chasseur alpin pendant mon service militaire ! J’étais un pur auvergnat, et ils ont dû penser que je connaissais la montagne à cause de notre volcan. Mais j’avais jamais skié de ma vie, la montagne, connaissais pas du tout !
Ils sont pleins d’humours, encore aujourd’hui.
Notre slogan, il est sur ma quille que j’ai gardé, c’était « Ne pas subir… et pourtant ! »
Toujours autant d’ambiguïté.
Ah ! Mais mes années de services ont peut-être étaient les plus belles ! J’y ai passé le permis poids lourd. Pour l’avoir, j’ai juste eu à faire le tour de la caserne avec un camion ! Et puis, j’sortais de ma petite cambrousse, j’ai vu du pays et fait des copains !
Ça a bien changé depuis votre époque.
C’est devenu si rigide que ça chez les bidasses ?
Je ne sais pas si je peux parler de rigidité, les choses sont juste plus réglementées. La technologie, les mœurs sociales, la société, pour l’armée, ça ne pouvait que changer.
On dit qu’on devrait remettre en place le service militaire ! Pour certains, ça leur ferait du bien !
Le passage à une armée de métier a changé beaucoup de choses. Je ne pense pas que le gouvernement ait le budget pour la remettre en place. Et puis, il n’y a plus vraiment de guerre… pas des guerres comme l’inconscient collectif le conçoit. L’éducation aussi a changé beaucoup de choses.
Oh, hey, ça m’a pas empêché de devenir chirurgien !
Je parlais pas dans ce sens. Les jeunes sont plus éduqués, donc moins prompts à voir l’armée comme quelque chose de positif.
L’armée c’est pas le problème, c’est une belle école de la vie. Mais la guerre, moi j’en ai pas fait, ça s’est sûr que ça doit pas être jolie.
Je confirme. »
Je n’aurais pas dû répondre à cette question. Comme souvent, les civiles aiment à en savoir plus quand ils apprennent que je suis, plus pour longtemps, soldat.
Another head hangs lowly Child is slowly taken And the violence, caused such silence Who are we mistaken?
But you see, it’s not me It’s not my family In your head, in your head, they are fighting With their tanks, and their bombs And their bombs, and their guns In your head, in your head they are crying
In your head, in your head Zombie, zombie, zombie-ie-ie What’s in your head, in your head Zombie, zombie, zombie-ie-ie, oh
Do, do, do, do Do, do, do, do Do, do, do, do Do, do, do, do
Another mother’s breaking Heart is taking over When the violence causes silence We must be mistaken
It’s the same old theme Since nineteen-sixteen In your head, in your head, they’re still fighting With their tanks, and their bombs And their bombs, and their guns In your head, in your head, they are dying
In your head, in your head Zombie, zombie, zombie-ie-ie What’s in your head, in your head Zombie, zombie, zombie-ie-ie Oh oh oh oh oh oh oh, ay, oh, ya ya
Firsthand Accounts of Japan’s Wartime Human Experimentation Program
Quatrième de couverture :
Some of the cruelest deeds of Japan’s war in Asia did not occurs on the battlefield, but in quiet antiseptic medical ward in obscure parts of China. Far from the front lines and prying eyes, Japanese doctors and their assistants subjected human guinea pigs to gruesome medical experiments in the name of science.
Author Hal Gold draws upon a wealth of sources to construct a portrait of the Imperial Japanese Army’s most notorious medical unit, giving an overview of its history and detailing its most shocking activities. The book presents the words of former unit members themselves, taken from remarks they made at a traveling Unit 731 exhibition held in Japan in 1994-95. They recount vivid firsthand memories of what it was like to take part in horrific experiments on men, women and children, their motivations and reasons why they chose to speak about their actions all these years later.
A new foreword by historian Yuma Totani examines the actions of Unit 731, the post war response by the Allies an the lasting importance of this book. Japan Infamous Unit 731 represent an essential addition to the growing body of literature on the still unfolding story of some of the most infamous war crimes in military history. By showing how the ethics of normal men and women can be warped in the fire of war, this important book offers a window on a time of human madness and the hope that history will not be repeated.
HAL GOLD was a writer, journalist and historian who was a resident of Kyoto for over 30 years. He authored many books, essays and articles on Japanese history and culture including Japan in a Sake Cup, Neutral War, Japanese army medical officer and several articles on turn-of-the-century Kyoto development.
YUMA TOTANI is professor of modern Japanese history at the University of Hawaii at Manoa. She authored The Tokyo War Crimes Trial : The Pursuit of Justice in the Wake of World War II, co-authored, Justice in Asia and the Pacific, 1945–1952 : Allied War Crimes Prosecutions and has written numerous articles.
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Comment écrire sur ces horreurs et surtout, quoi partager avec vous, ceci est le dilemme (encore) pour cet article.
L’unité 371 a été créée par le jeune et ambitieux Ishii avec l’aval de l’empereur Hirohito. Le but étant de préparer, de créer et d’améliorer des armes offensives et défensives chimiques en les testants sur des êtres humains vivants.
L’unité était installée dans l’état fantoche de Mandchourie, créée par les japonais lors de la guerre sino-japonaise, à l’est de la Chine. À Pingfang plus exactement. L’endroit était tenu secret défense. Construit comme un château, avec deux cheminées pour incinérer les corps.
Médecins, infirmiers, étudiants et jeune soldats y ont « exercés ».
Vivisections avec et/ou sans anesthésies, expériences sur le froid, sur les maladies vénériennes, le typhus, le choléra, la peste ect…
Les victimes étaient appelé des maruta, des « planches ». Elles étaient chinoises, coréennes, russe, anglaises, françaises et américaines. Les victimes occidentales restaient rares. Des femmes, des hommes et des enfants (incluant les nourrissons) en étaient les victimes et cobayes.
Le livre est partagé en deux, une section historique, une section témoignages d’anciens soldats (car les médecins, infirmiers ect… étaient soldats). Les deux sections étant séparées par une toute petite partie photos, contenant juste les photographies des ruines de l’établissement et des reconstitutions des expérimentations. Cette section est plus anecdotique qu’autre chose, vous pouvez trouver sur internet plus de photographies.
Les témoignages des bourreaux sont important, car à la fin de la guerre, les soldats étaient priés de se taire. Et nous connaissons l’obéissance et la discipline des soldats japonais envers leur empereur. Surtout que beaucoup recevaient de l’argent pour leur silence. Heureusement, une poignée a décidé de témoigner pour ne pas oublier. Aucune victime n’a survécu, nous n’avons que les aveux des bourreaux pour savoir ce qu’il se passait dans cette unité. Les anciens bourreaux témoignent, expriment leurs regrets et demandent pardon.
Aucuns des ces criminels n’a été jugés, les japonais ayant utilisés judicieusement la guerre froide pour se couvrir. En échangeant des informations avec les américains, en les menaçants de révéler les résultats des expériences à l’URSS. La plupart de ces « expériences » n’ont pas apportées de découverte majeure, loin de là. Les japonais ont bluffés leurs juges.
Femmes enceintes éventrées, femmes de conforts, victimes gazées, forcées a des relations sexuelles pour étudier la propagation des maladies vénériennes.
Congeler des membres du corps pour tester la résistance des os avec un marteau, victimes vidées de leurs sangs, attachées à des planches pour observer l’efficacité des obus contenant des agents pathogènes, élevages de rats et de puces pour étudier et propager des virus. Ces expériences servaient à créer des armes bactériologiques, par bombe, ou par empoisonnement des rivières, principalement.
Aucuns « tests » sur d’innocents villages civiles chinois n’ont donnés de résultats concrets. Un témoin/bourreau raconte en fin d’ouvrage que la plupart des professionnels y travaillant le faisaient pour s’amuser.
Le sujet des « femmes de conforts », autrement dit des femmes forcées à la prostitution, est légèrement traité dans le livre. Leurs sort étaient évidemment terribles. Ce sujet aurait mérité d’être plus développé tant le sort de ces femmes durant la Seconde Guerre Mondiale est encore peu connut.
Est mentionné aussi l’entraînement de jeunes soldats japonais, apprenant le maniement de la baïonnette sur des civils vivants.
Est-ce que je conseil se livre ? Il n’est pas mal écrit, ce n’est pas la question, le sujet est difficile. Si vous voulez en apprendre plus sur ce crime de guerre japonais, oui, mais les informations que vous pouvez trouver sur internet sont amplement suffisantes. Je pense à la lecture du Wikipedia de l’Unité 731 notamment.
Je n’ai pas jugé important de partager des extraits de ces horreurs. Je ne me sens pas la force de les écrire ni de les relire.
Voici quelques photographies glanées sur internet pour compenser le manque d’extrait.
L’énorme complexe de l’unité 731.Général Ishii, responsable et créateur de l’unité 731. Une victime, appelée maruta (planche), emportée par des soldats japonais en combinaison.Reconstitution d’une des nombreuses expériences commises dans l’Unité 731. Celle-ci consistait à enfermer un(e) prisonnier(e) dans une sale réfrigérée et de lui verser de l’eau sur les membres jusqu’à ce qu’ils gèlent, puis des les frapper jusqu’à ce que le membre se cassent. Expérience censée étudier l’effet des gelures et du froid extrême sur le corps humain.
Je regrette de ne pas avoir eu la force de partager avec vous les extraits du livre mais relire l’horreur et l’inhumanité de ces expériences m’est difficile. Comme noté plus haut, vous trouverez assez d’informations sur ce crime de guerre sur internet. Le plus important, je pense, est de ne pas oublier ce crime de guerre peu connu et, surtout, ses victimes oubliées.
Quatrième de couverture : Le 6 avril 1994, l’attentat contre l’avion du président Habyarimana marque le début du génocide perpétré contre les Tutsi et le massacre des Hutu de l’opposition. En cent jours, 800 000 personnes sont exterminées. Vingt-cinq ans après, Laurent Larcher a rencontré ceux qui étaient au Rwanda, des soldats de l’opération Turquoise et des responsables politiques, des hauts fonctionnaires qui décidaient depuis Paris de l’action de la France et de son intervention. Pour les interroger : « Qu’avez-vous vu ? Qu’avez-vous fait ? ». Confronté, notamment, aux témoignages de journalistes et d’humanitaires sur le terrain à l’époque, mais aussi à ceux d’anciens soldats de l’opération Turquoise, qui affirment que l’armée française a organisé des opérations offensives, après le début du génocide, contre le FPR de Kagame, le discours officiel se lézarde. Ces entretiens sont des documents pour l’histoire. Ils éclairent de façon nouvelle l’implication de la France, son aveuglement, la faillite morale et politique de nos autorités. Historien de formation, journaliste à La Croix, Laurent Larcher est reporter de guerre, spécialiste de l’Afrique subsaharienne, et auteur de plusieurs livres dont Aunom de la France ? Les non-dits de notre diplomatie (2018).
-La pierre angulaire de ce livre est l’entretien que Mr Larcher à eu avec Guillaume Ancel ( son blog :http://nepassubir.home.blog) après que ce premier ai lu son ouvrage « Rwanda, la fin du silence: Témoignage d’un officier français ». Ancel accuse. notamment la France d’avoir livré des armes aux FAR, les génocidaires, les Hutu, et d’avoir laissé tomber les Tutsis, les laisser se faire massacrer. Larcher, choqué par son témoignage et son entretien avec Ancel, remettant en cause sa vision de l’intervention de la France au Rwanda et sa foi dans la religion Catholique et l’influence de l’Eglise dans le génocide se lance dans une série d’entretiens à la recherche de réponses. J’ai personnellement découvert l’influence de la France sur certain pays du continent Africain, souvent, ou toujours pour l’argent. N’oublions pas que l’armée française est engagée au Sahel actuellement. C’est l’opération Barkhane. Au Mali, l’opération Serval. Et d’autres encore moins connues. Toujours cette présence française qui semble vouloir s’emparer des ressources africaine, tel un vautour survolant ses proies. La Francafrique, la honte pour un pays qui se proclame être la terre des Droits de l’Hommes. Je n’accuse pas les militaires français qui n’ont pas commis de crime de guerre au Rwanda, certains soldats ont même été indignés de ne pas pouvoir intervenir et faire plus. Mais, il y a eu, et c’est important de le signaler, des accusations de viols qui ont pesées sur des soldats Français au Rwanda.
Au final, et c’est rare, je ne conseille pas ce livre. Les différents intervenants se contredisent les uns les autres, le livre fait 700 pages et au final, il n’y a AUCUNE réponse. Les pièces du puzzle, semblent éparpillés et certaines pièces perdues. Ont en sort encore plus confus et frustré…
Rappelons que le génocide des Tutsi au Rwanda à fait 800 000 morts. Les Rwandais ont le droit à la vérité.