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Qu’elle soit nécessaire, ou même justifiée, ne croyait jamais que la guerre n’est pas un crime.
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La première panacée pour une nation mal dirigée est l’inflation monétaire, la seconde est la guerre. Les deux apportent prospérité temporaire et destruction indélébile. Les deux sont le refuge des opportunistes économiques et politiques.
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Dans la guerre moderne, vous mourrez comme un chien et sans raison.
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Les yeux qui ont vu Auschwitz et Hiroshima ne peuvent jamais voir Dieu.
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Le monde est un endroit magnifique pour lequel il vaut la peine de se battre.
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Un homme, ça peut être vaincu mais pas détruit.
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Chacun de mes contacts avec la politique m’a donné l’impression d’avoir bu dans un crachoir.
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Lorsqu’un homme est encore en révolte contre la mort, il a du plaisir à emprunter lui-même l’un des attributs divins : celui de la donner.
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Nous devons nous y habituer : aux plus importantes croisées des chemins de notre vie, il n’y a pas de signalisation.
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– C’est pas le moment de penser à ce qui te manque. Pense plutôt à ce que tu peux faire avec ce qu’il y a.
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La guerre c’est l’enfer, avait déclaré Sherman […]
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« D’ailleurs, pensa-t-il, tout le monde tue d’une manière ou d’une autre. […] »
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« Je t’aime autant que tout ce pour quoi nous nous sommes battus. Je t’aime comme j’aime la liberté et la dignité et le droit de tous les hommes à travailler de n’avoir pas faim. […] comme j’aime tous mes camarades qui sont morts. […] »
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« – Non. Je suis contre la tuerie des hommes.
– Pourtant tu as tué.
– Oui et je le ferai encore. Mais si je vis après ça, j’essayerai de vivre de telle façon, ne faisant de mal à personne, que je serai pardonné […] »
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Les personnes les plus cruelles sont toujours les plus sentimentales.
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Jaskiers