Citations d’Hemingway pour aujourd’hui

Qu’elle soit nécessaire, ou même justifiée, ne croyait jamais que la guerre n’est pas un crime.

La première panacée pour une nation mal dirigée est l’inflation monétaire, la seconde est la guerre. Les deux apportent prospérité temporaire et destruction indélébile. Les deux sont le refuge des opportunistes économiques et politiques.

Dans la guerre moderne, vous mourrez comme un chien et sans raison.

Les yeux qui ont vu Auschwitz et Hiroshima ne peuvent jamais voir Dieu.

Le monde est un endroit magnifique pour lequel il vaut la peine de se battre.

Un homme, ça peut être vaincu mais pas détruit.

Chacun de mes contacts avec la politique m’a donné l’impression d’avoir bu dans un crachoir.

Lorsqu’un homme est encore en révolte contre la mort, il a du plaisir à emprunter lui-même l’un des attributs divins : celui de la donner.

Nous devons nous y habituer : aux plus importantes croisées des chemins de notre vie, il n’y a pas de signalisation.

– C’est pas le moment de penser à ce qui te manque. Pense plutôt à ce que tu peux faire avec ce qu’il y a.

La guerre c’est l’enfer, avait déclaré Sherman […]

« D’ailleurs, pensa-t-il, tout le monde tue d’une manière ou d’une autre. […] »

« Je t’aime autant que tout ce pour quoi nous nous sommes battus. Je t’aime comme j’aime la liberté et la dignité et le droit de tous les hommes à travailler de n’avoir pas faim. […] comme j’aime tous mes camarades qui sont morts. […] »

« – Non. Je suis contre la tuerie des hommes.

– Pourtant tu as tué.

– Oui et je le ferai encore. Mais si je vis après ça, j’essayerai de vivre de telle façon, ne faisant de mal à personne, que je serai pardonné […] »

Les personnes les plus cruelles sont toujours les plus sentimentales.

Jaskiers

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J’ai trouvé mon livre préféré dans la rue.

Je n’avais pas envie de sortir aujourd’hui. Mais mon Roméo, mon Chihuahua, avait envie. Et il faisait beau et doux, avec le vent mythique de la Normandie. Le masque sur le nez, je ne pourrais pas vous décrire se que j’ai pu sentir.

Je n’avais pas vraiment le moral, en attente d’une mauvaise nouvelle, une très mauvaise nouvelle qui traîne à venir. Le coup de fil ou le message que personne n’aimerait recevoir. Par chance je ne le recevrai peut-être pas, j’angoisse pour rien. Peut-être.

Il y a des moments durs dans la vie, si si je vous promets ! D’ailleurs vous n’aviez pas remarqué ? Mais celui-là est d’un genre nouveau et cruel pour moi. (Faisons pleurer dans les chaumières !)

Et puis il y a dans ces jours des heureux hasards.

Comme trouver son livre préféré dans la rue. En mauvais état certes mais là ! À mes pieds.

Je l’ai ramassé, c’est un livre de poche, qui ne rentrait dans aucune des miennes mais je l’ai gardé à la main pendant cette petite balade. J’ai pensé à sortir lire dehors. Un jour peut-être. « Peut-être » pourrait-être le deuxième titre de cet article.

J’ai ramené le livre à l’appartement. Je le garde. Je ne pouvais pas le laisser là.

Désolé à celui ou celle qui l’a perdu, mais je ne pouvais pas le laisser dans la rue comme ça. Il est au chaud maintenant, à l’abris du vent cruel de la Normandie, de la pluie et même du soleil.

Et merci de m’avoir redonner un peu de baume au cœur !

Jaskiers

C’est dimanche, donc un peu d’Hemingway !

« Pour écrire sur la vie, vous devez déjà la vivre. »

Ayant presque lu toute les œuvres d’Hemingway, il doit me rester en tous 5 livres à lire, la plupart des nouvelles écrites pour la jeunesse, je ne peux m’empêcher de poster un article sur mon écrivain préféré.

Mon œuvre préféré de cette tête brûlée ? « L’adieu aux armes » suivit de près par « Pour qui sonne le glas ». Un livre très intéressant et celui de ses correspondances, l’homme écrivait des lettres pour s’échauffer avant ses séances d’écritures.

Petite trivia sympa : il écrivait debout et rédigeait les dialogues entre ses personnages à la machine à écrire. Il était un grand amoureux des chats.

Il a prit la tête d’une petite escouade de la Force Française Libre pour libérer Paris et a continuez de combattre à leurs côté jusqu’à la terrible bataille de la forêt de Hürtgen. Bien sur illégalement et en mentant à l’état major américain…

Il a chassé les sous-marins allemand à bord de son bateau de pêche aux alentours de Cuba et Key West (Floride, U.S.A), avec, cette fois, l’autorisation de l’armée américaine. Il écrire plusieurs nouvelles s’inspirant de cette aventure. Selon plusieurs biographie que j’ai lu, cette opération de chasse au sous-marin était la plupart du temps une beuverie entre ami…

Tellement fan du monsieur que j’ai cherché à acheter une machine à écrire, mon choix c’était porté sur des Remington ou Royal noiseless. Mais quand j’ai vu les prix, j’ai déchanté ! Il est difficile de trouver une machine à écrire, sur le net du moins. Il est dur de juger la qualité, le look, la matière. Les machines à écrire reste, pour moi, des objets mystérieux, j’ai l’impression qu’elles sont presque vivantes ! La machine à écrire attendra donc, mais elle reste toujours un objet que je voudrai acquérir, chérir et utiliser. (Si vous avez des bons plans, n’hésitez pas à me laisser un commentaire !)

Je pourrai faire la même chose sur Stephen King, Hunter S. Thompson… Mais pour ce dimanche, place au grand monsieur de lettre américaine !

(Rapport avec mon envie de machine à écrire Ernest ?)
Peut-être ma citation préférée avec « Écris la phrase la plus vraie que tu connaisse »

Quel est votre écrivain préféré ? Quel sont vos œuvres littéraires préférées ? Pourquoi ? J’aimerai beaucoup, si vous lisez ses mots, que vous partagiez les œuvres qui vous ont marquées !

Merci !

Jaskiers