There’s A Killer On The Road (A Short Story)

FYI: I am not fluent in English, I’m trying to be at least. Sorry for the potentials mistakes. Feel free to correct me in the comment section.

« – Go now, let’s go !

  • What the fuck happened over there, shit !
  • Come on faster !
  • Yeah, but will you tell me where are Tim and Bryan for Christ’s sake ?
  • Dude, it’s all turned into a shit show in there !
  • Well I guess I already know that because you came back alone ! What was those gunshots that I’ve heard ? It was supposed to be a fine calculated job, no victim !
  • Dude, we thought we had it all under control. Everybody knew the plan and what he had to do but that… fucking security guard decided to be a hero ! Like he was paid enough to care about a robbery !
  • If you let you guard down man, they’ll take you out for sure.
  • What do you fucking know about a bank a robbery ! Shut the hell up and do your job, driving !
  • Well excuse me for being worried about bringing home one dude instead of three ! What happened to them !
  • Faster !
  • I’m at full speed ! Get out if you think you could run faster you shit ! Answer me ! Where are Tim and Bryan ?!
  • Tim got shot in the right shoulder by the security guard and Bryan was instantly killed by a bystander in the bank.
  • What ? And you came out of it unharmed !
  • Tim was badly injured but he could still fire his gun. We exchanged a copious numbers of bullets with the cops and the civilian. We killed the officer first, the bystander emptied is Smith&Wesson on us, Bryan took a bullet in the head… He died instantly. When the civilian started to reload, we took the opportunity to shower him with bullets and that wannabe hero died. Then, time started running out so Tim was guarding the civilians, I took care of the banker who opened the safe, took the money in my duffle bag and when I’ve came back, Tim was bleeding badly. I think that he had been hit sooner during the fire exchange with ether the civilian or the guard. At first, I’ve thought it was in the shoulder but he was hit in the left lung. Had to choose between him and the money so I’ve choose him but he refused and told me to go. To secure the money you see. He told me good luck and said he would cover my exit just in case someone decided to play hero… and here I am now.
  • Fuck. For real ? Men you’re full of shit ! I knew you were a coward at the second I laid eyes on you !
  • Men fuck you ! I did what had to be done !
  • Come on, you could have carried Tim with you !
  • Dude, I was literally carrying millions of dollars in a bag ! Money is heavy but you wouldn’t know this because you are our fucking gateway driver !
  • Man, I can fire a gun, be careful with what you said ! Can’t believe you left Tim to get die or… Wait… shit ! Was he the one who fired his gun just before you came running to the car ?
  • Yes I’ve told you, he was covering me !
  • You fucking lier ! He was trying to shoot you because you’re the one who killed Bryan ! »

Rami died on the spot, shot by Aubrey.

« – You haven’t see that one coming isn’t it ? Getaway driver my ass ! »

Throwing the body out of the car, Aubrey drove West.

Nothing was going accordant to the plan, he saw the flashing lights of law enforcement cars reflecting on his rear view mirror.

Taking his handgun, he fired at the blinding lights. He received a salve of bullets as an answer.

The car stopped going forward almost immediately.

He had a two possibility now. Run or facing the cops.

To this day, the faith of the five million dollars is still unknown. But they’re tainted in blood, sweat, tears and betrayal, like every currency in this world.

Jaskiers

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On m’a offert une machine à écrire pour mes 28 ans

Enfin ! J’ai une machine écrire !

Diantre ! J’ai 28 ans !

J’aurais aussi aimé une à remonter le temps ! Je n’ai pas vu la vingtaine passée ! Je me souviens encore de la fête que j’avais faite pour mes 20 ans comme ci c’était hier ! Le temps passe vite passé un certain âge, je dirais qu’à partir de 18 ans, les années défilent très vite !

Je me rappelle quand j’étais gamin et que chaque année paraissait durer une plombe. Je ne sais pas pourquoi, mais à partir de mes 18 printemps les années semblent avoir filé sans que je m’en rende compte.

C’est peut-être parce que l’on vieillit, on réalise que l’on est adulte et on panique un peu, essayant de s’accrocher, de ralentir le temps, inexorable et sans pitié qui n’attend personne. La vraie richesse, c’est la santé et le temps. Les deux choses les plus précieuses qui ne peuvent pas s’acheter (ou presque).

En parlant de temps, me voici en possession d’une Olympia datant des années 60 !

Merci à ma sœur et à ma mère d’avoir réalisé un de mes rêves.

C’est fait, j’ai une machine à écrire !

Déjà au milieu de mon bordel !

Elle est beaucoup plus âgée que moi, mais est toujours belle et surtout, elle fonctionne à merveille !

Quelle ironie qu’une vielle machine qui a plus de 60 ans fonctionne encore parfaitement quand l’ordinateur ou le téléphone sur lesquels vous lisez ces lignes seront obsolètes dans quelques années.

C’est quelque chose d’écrire sur une machine ! Vraiment. J’avais déjà parlé de l’Olympia de ma grand-mère qui ne pouvait pas aligner les majuscules, mais qui fonctionnait quand même après être resté plus de 40 ans dans une armoire.

Voici mon Olympia, une « De Luxe » s’il vous plaît !

J’ai déballé ce cadeau devant ma sœur et ma mère (et Roméo aussi, mais il ne semble pas vraiment fan d’une si bruyante chose).

Elle m’a été offerte, merci maman et merci soeurette, avec sa housse de transport. L’occasion de parler avec ma petite sœur de la vielle époque où les gens devaient se trimbaler avec cette lourde machine jusqu’au travail.

On se plaint beaucoup que la vie ne soit pas facile. Mais ce simple fait que nos grands-parents devaient se coltiner des trajets avec une machine à écrire remet les choses en perspectives.

Qu’est-ce que nous nous plaignions ! On est français après tout, un sport national ! Mais vraiment, oui, la vie est foutrement difficile, rien n’est simple, mais comparé à nos aïeux ? Les avez-vous entendus se plaindre que la vie était dure ? Pas moi ! Jamais ! Et j’ai eu la chance de connaître mon arrière-grand-mère qui, morte à presque 106, avait vécu les deux guerres mondiales (et qui a eu la visite de la gestapo à cause des activités de résistant de mon arrière-grand-père) et a élevée quatre enfants sans aides sociales. Jamais elle ne s’est plainte de la vie. Enfin si… elle disait qu’à 100 ans, elle commençait à trouver le temps long.

Revenons à nos moutons !

Saviez-vous que ma petite sœur, qui approche de sa vingtaine, ne savait pas qu’il fallait des feuilles pour utiliser une machine à écrire ?!

Quelle génération !

Mais je sais que tu lis cet article. T’es chiante mais tu es la meilleure.

C’était tellement agréable de pouvoir écrire parfaitement (avec mes fameuses fautes d’orthographe) sur le clavier d’une machine à écrire qui retranscrit parfaitement les mots sur la feuille !

Je découvre aussi que cela sera un apprentissage de maîtriser la bête !

Comment faire des paragraphes ? Parfaitement revenir à la ligne, bien organiser l’espace sur la feuille etc… Je trouve petit à petit mes marques et le fonctionnement mystérieux de cette machine. Une relation de musicien à son instrument se créait. Je commence avoir le même attachement à celle-ci qu’avec ma guitare sèche qui malheureusement est loin de moi. Je rêve souvent que je joue de la guitare, mais électrique. Ah ! Ce vieux rêve d’être RockStar ! C’était Jim Morrison, je crois, qui disait qu’à 27 ans, on été déjà trop vieux pour être une rock star. Ou peut-être était-ce Kurt Cobain qui a dit cela.

En tout cas, je trouve que ce sera un outil de plus pour me pousser à écrire, me déchaîner. Personne ne lira ce que j’écris avec, ce sera peut-être l’outil d’un « stream of consciousness » sauvage et sans fin.

Je vois cette machine comme une sorte de défouloir, extérioriser encore plus que dans mon journal.

Mais rien n’est sûr et s’est peut-être cela qui rend la chose encore plus intéressante.

Je vois des projets, pas grand-chose pour l’instant, pour le blog. La machine à écrire, c’est le futur !

D’ailleurs, dans quelque temps, le blog prendra un tournant temporaire. Sacrément casse-gueule.

Et je deviens tout doucement vieux.

Merci maman et à toi, petite sœur casses-bonbons !

Jaskiers

Girl from the North Country – Bob Dylan featuring Johnny Cash

Pauvre Bob qui reçoit une bonne grosse tape de Johnny Cash sur le torse !

Girl from the North Country – Bob Dylan featuring Johnny Cash sur YouTube

Un magnifique « Folk Song » interprété par deux légendes de la musique américaine. Bob Dylan le vagabond avec Johnny Cash, l’ex-tollard ! Magie et douceur de la folk (country ?) américaine !

J’espère que vous apprécierez ces deux hommes en duo !

Je dédicace cette article à můj přítel Midian Poet !

So, if you’re travelin’ in the north country fair
Where the winds hit heavy on the borderline
Remember me to one who lives there
She once was a true love of mine

Jaskiers

C’est dimanche, c’est Bob Dylan, The Original Vagabond !

J’aurai pu y penser avant ! Voici du Bob Dylan, un des plus grands poètes de notre époque, ce n’est pas que moi qui le dis, Sir Elton John l’avoue aussi !

J’espère que vous aimerez les citations du vagabond, le prix Nobel de littérature, l’éternel rebelle qui ne l’avoue pas ! Mais tu l’es Bob, avec ta guitare (sèche ou électrique), ton harmonica et ta tignasse !

Passez un agréable dimanche (confiné ? Moi oui…)

Jaskiers